Création 2021 – musique classique & contemporaine

De : Régis CAMPO, Antonio VIVALDI

Distribution : Jean-Marc AYMES clavecin, Lucile PESSEY voix, Vincent BEER-DEMANDER mandoline, Quatuor Alètheia (Claude COSTA violon, Marie HAFIZ violon, Pascale GUÉRIN alto, Marine RODALLEC violoncelle), Philippe GALLOIS contrebasse.

Tout comme l’œuvre musicale d’Antonio Vivaldi, la musique de Régis Campo (Prix Swiss Life à 4 mains en 2020, 21ème lauréat du Grand Prix Lycéen des Compositeurs 2020 pour son œuvre «Une solitude de l’espace» – album «Régis Campo – Street-Art»), est souvent qualifiée de ludique, remplie de couleurs, de grâce et de lumière. Son catalogue, riche de plus de 300 œuvres de concert, d’opéra, de film, aborde diverses formations instrumentales et vocales. Ses pièces sont jouées en Europe et à travers une trentaine de pays dans le monde entier par les plus grands interprètes. Vincent Beer-Demander a sollicité son ancien maître de composition, Régis Campo, pour l’écriture d’un concerto dans un format vivaldien, se faisant ainsi l’écho contemporain des brillants concerti que le prêtre roux offrit à cet instrument si méditerranéen qu’est la mandoline. De la même manière, la soprano Lucile Pessey et le claveciniste Jean-Marc Aymes ont passé commande à Régis Campo pour voix et clavecin. À travers ce portrait croisé, s’éclairent les esthétiques baroques et modernes de ces deux compositeurs qui partagent un certain goût pour la virtuosité et le mélange des timbres dans un discours rythmique et mélodique sans cesse renouvelé.

Création 2021 musique jazz / world

De : Claude SALMIERI

Distribution : Claude SALMIERI claviers & percussions, Vincent BEER-DEMANDER mandoline, Alexis SALMIERI percussions, Grégory DALTIN accordéon

Claude Salmieri, arrangeur, compositeur et batteur légendaire ayant accompagné Magma, Lalo Schifrin, Ray Charles, Vladimir Cosma, Michel Berger, Jonny Hallyday, Renaud, Julien Clerc… s’empare de la mandoline de Vincent Beer-Demander et compose à son intention un cycle d’œuvres nouvelles sur le thème des « Cinq Continents ». Vincent Beer-Demander a lui-même collaboré avec des grands musiciens de jazz comme Claude Barthélémy, Didier Lockwood, Richard Galliano, Hamilton de Holanda, Mike Marshall, Fifi Chayeb, Greg Zlap, Marius Préda…

Claude Salmieri écrit sur mesure une partition qui se présente comme un carnet de voyage. La mandoline, au centre du propos du compositeur, se voit côtoyer des esthétiques diverses qui puisent leur inspiration dans les racines profondes des musiques populaires des quatre coins du monde. Dans un discours musical sans cesse renouvelé mais empreint de jazz et de musique du monde, Claude Salmieri nous livre ici une musique où le rythme tient une place prépondérante et où chaque mouvement développe un chemin propre.

« Un régal pour l’esprit, une caresse pour l’écoute » Raul Maldonado

Les compositeurs italiens du 7ème art et contemporains, en duo guitare / mandoline – Création 2021

De : Ennio MORRICONE, Nino ROTA, Nicola PIOVANI : Arrangements Alberto VINGIANO ; Créations de Paolo ROSINI, Simone IANNARELLI, Carlo DOMENICONI, Giueseppe PETTINE…

Distribution : Alberto VINGIANO guitare, Vincent BEER-DEMANDER mandoline

Argenteuil, septembre 2001… Un jeune garçon pousse la porte de la classe de guitare d’Alberto Vingiano pour étudier avec ce disciple d’Alberto Ponce. Il s’appelle Vincent Beer-Demander, joue de la mandoline et reçoit dans cette même école l’enseignement de Florentino Calvo. De cette rencontre fructueuse naît une solide amitié et une envie commune d’explorer les multiples facettes de ces deux instruments à cordes pincées si méditerranéens. Tous deux professeurs dans le Sud de la France (Marseille et Aix en Provence), Vincent Beer-Demander et Alberto Vingiano partagent ici leur goût pour cette musique moderne, riche et colorée qui appartient à notre mémoire collective tant elle est associée à cet art de vivre à l’italienne.

La Dolce Vita nous offre un voyage original dans le pays de Sergio Leone et Giuseppe Tornatore à travers les œuvres majeures d’Ennio Morricone, Nino Rota ou Nicola Piovani destinées au grand écran et nous fait découvrir des créations originales pour mandoline et guitare de Paolo Rosini, Simone Iannarelli, Carlo Domeniconi ou Giueseppe Pettine ancrées dans cette tradition populaire bien vivante. Si la Dolce Vita chante avec simplicité l’histoire d’une nation tournée vers l’art et la culture, ce moment musical illustre bien les propos de Fellini : « Il n’y a pas de fin, il n’y a pas de début, seulement la passion infinie de la vie. »